BAIKAL, AUTOUR, DESSUS, DEDANS
Son nom qui fait rêver, lui va si bien.
Après des jours et des jours à l'attendre, se rapprochant peu à peu, soudain il apparaît, et le rêve continue.
La très grande île d'Olkon se mérite : 10h de bus et de ferry pour la fouler. Mais c'est en même temps ce qui lui donne cet aspect si sauvage, y compris pour les hommes et les habitations.
Sauvage et profond, comme le coeur des habitants, un soir, ce trio voix et accodéon, m'a boulversé, tant on ressent l'âme de ces pesronnes liées à ce lieu, malgrès sa rudesse de climat, vent, pluie, et froid conjugués.
Une plongée me semble être un souvenir inoubliable, ne serais-ce que par la température de l'eau 4°C, et peut-être apercevoir les seuls dauphins d'eau douce, au monde, alors j'y vais !
L'ayant laissé derrière moi, Serge et Nathalie, avec leurs 4 enfants, m'y ramènent, sur l'autre rive cette fois, et dans un drôle de camion jaune! Notre rencontre a commencée par un simple bonjour, puis un café, et finalment je suis resté 3 jours à partager leur quotidien, tellemenent simplicité, calme et gentilesse sont leur façon.
Au programme : quad, canoé, détente, et aussi prise de tête involontaire avec la police (qui a durée 9h) suite un petit accident. Nous nous reverrons, j'en suis sur.
J'espère aussi revoir le lac, une prochaine fois, plus au nord, ou la sibérie véritable donne tout ce qu'elle possède, aller vers l'artique, j'ai ma petite idée la dessus ...
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