19 septembre 2011
COMBAK
Parti un 1er mai, fête du travail, je reviens un 1er novembre, fête des morts. Je n'ai ni travail, ni mort à fêter, que faire alors ? Ne pas partir, ne pas revenir ? J'ai fêté l'amour, le doute, le risque, la joie, l'angoisse des sommets, les routes glissantes,...